jeudi 22 novembre 2012

Campeche

Bois de Campeche, pêche de fond, fond de culotte, culotte de zouave, zouave d'Afrique, fricassée, c'est assez. On connait tous cette ville pour ces suites de mots qu'on récitait quand on était gamins.
Le bois de Campeche servait à la teinture et était vendu à prix d'or en Europe. Seul port du Yucatan jusqu'au XVIIIè siècle, la ville était riche et les pirates la pillaient très souvent.
C'esr maintenant une ville douce à vivre et très agréable avec laquelle nous n'avons qu'à peine pris contact cet après midi. Pas grave, il nous reste encore 2 jours pour la parcourir.


La chose noire devant la cathédrale est l'une des sculptures monumentales de Javier Marin éparpillées dans la ville pour une exposition éphémère mais bien lourde.


2 commentaires:

  1. AAAHHHhhhh !

    Merci, c'est bien mieux comme ça.

    Mais que cela ne se reproduise pas, hein !

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  2. N'hésitez pas à illustrer le texte sur Campèche que je ne connais pas. Ups.

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